mardi 29 mai 2012
Pique-nique dans Bruxelles
lundi 28 mai 2012
La semaine du Bio
Du 2 au 10 juin, a lieu la 8ème édition de la semaine Bio 2012. "Bio à croquer, près de chez vous" est le thème de cette semaine qui a pour but de faire gouter les saveurs bio au grand public mais également de faire découvrir des facettes encore inconnues de l'alimentation biologique. Pour l'occasion de nombreuses activités sont proposées en Wallonie et à Bruxelles.
(www.semainebio.be)
Pour débuter les festivités, le smedi 2 juin à Etterbeek, un barbecue bio est organisé de 12h à 18h. L'occassion de discuter avec ses voisins un bon verre de bière belge bio à la main.
Pour débuter les festivités, le smedi 2 juin à Etterbeek, un barbecue bio est organisé de 12h à 18h. L'occassion de discuter avec ses voisins un bon verre de bière belge bio à la main.
Ensuite, tout au long de la semaine la ferme Nos Pilifs ouvre ses portes pour une visite guidée. Après la visite une conférence sur le thème "Les labels bio, comment s'y retrouver?", sera présenté par BioForum.
Le marché bio de la Place Sainte Catherine (voir article) acceuillera un plus grand nombre d'échoppes pour l'occasion. Le magasin Biologic à Schaerbeek organise un picnic bio dans son jardin à l'arrière. L'Ulb et BioForum offrent un p'tit déj bio aux étudiants du campus du Solbosh, etc. (plus d'infos)
Bref, de quoi ravir tout le monde. Espérons que le soleil sera de la partie !
vendredi 25 mai 2012
Chez Jozy
Ouvrir un magasin bio, proposant une restauration à 12h ça ne court pas les rues. Nous en avons donc profité pour poser trois questions à « Chez Josy » :
- D’où est venue cette idée d’ouvrir un magasin-restaurant bio ?
D’une promenade en forêt. Joëlle et Sylvie les deux fondatrices de « Chez Josy » (d’où le nom Jo-Sy) se sont posé des questions quant à leur avenir. Proche de la retraire, elles ont eu envie de lancer un nouveau projet à deux ! L’une étant bonne cuisinière, l’autre bonne commerciale, l’idée était toute trouvée : un petit restaurant. Oui mais pas seulement. Leur conscience a parlé et elles souhaitaient vraiment ouvrir un petit restaurant ne proposant des aliments frais et bio.
- Mais pourquoi le bio ?
Il faut faire attention à ce que l’on met dans notre corps. Joëlle et Sylvie ne se voyaient pas offrir des aliments chimiques à leur client. De plus, elles ne concevaient pas importer des aliments alors que des très bons agriculteurs existent en Belgique. Et puis, la bonne nourriture est faite à partir d’aliments frais et sain.
- Et le futur ? D’autres projets
Ouvrir d’autres magasin pas pour tout de suite! Pour l’instant Jozy se focalise sur le take away dans les entreprises. Après, on verra....
Contact : Joëlle Vandenbemden et Sylvie Desoor
Réservations : 02/679 01 53
Adresse : Place Keym, 15 - 1170 Watermael-Boitsfort
lundi 21 mai 2012
Bio Shanti
Bio shanti est le plus grand supermarché bio de la ville de Bruxelles, mais également un des plus anciens. Créé dans les années 70, Bio shanti est un pilier de l’alimentation bio dans la capitale. Ce supermarché propose de tout. En effet, on trouve aussi bien des produits frais comme fruits et légumes que des produits laitiers ou des produits traiteur, mais aussi des céréales et fruits sec, du pain, et même des surgelés. Mais Bio Shanti ne vend pas uniquement des produits alimentaires. En effet, on peut également trouver un rayon de cosmétique ou des produits ménagers. « On peut venir faire toute ses courses chez Bio Shanti. Les gens sont souvent étonnés mais on trouve de tout, c’est comme faire ses courses au Delhaize ou au GB, sauf qu’ici c’est certifié bio et donc c’est bon pour la santé », s’exlame Vanessa, vendeuse chez Bio Shanti à Ixelles. Effectivement, l’ensemble des produits alimentaires sont labélisé biogarantie, AB, Demeter et Eco Cert. Pour les cosmétiques ce sont les labels BDIH et Bio Cosmétique, nous apprend la vendeuse.
Dans les rayons du magasin, on trouve aussi des produits spécifiques pour des personnes suivant un régime particulier. On peut, en effet, donc se procurer des produits sans gluten, sans sel, sans sucre,...
Le magasin se situe Avenue Adolphe Buyl, n°70. A deux pas de l'ULB, Bio shanti propose un autre style d'alimentation pour les jeunes étudiants !
mercredi 16 mai 2012
Marché bio Place Sainte-Catherine
Les marchés bio à Bruxelles, ça existe ! Mais malheureusement, ils sont encore peu nombreux. Selon Julie Grégoire et Carine Anselme, auteures de « Bruxelles...Les marchés », il existe deux marchés bio dans la capitale : le marché Bio place Sainte-Catherine et le marché bio du Gué à Woluwé-Saint-Lambert.
Le marché de la Place Sainte Catherine existe depuis plus de treize ans et a déménagé depuis lors. En effet, à ces débuts le marché était installé à l’ombre tutélaire de La Monnaie. Sur ce marché, on trouve de tout : pain, fromages, légumes, fruits, jus,... et tout est certifié 100% bio.
Je me suis donc rendue sur place pour en apprendre d’avantage sur ce marché et découvrir la passion de ces commerçants bio.
lundi 14 mai 2012
Le slow food n'a pas encore séduit les jeunes
Mais ce concept est encore fort méconnu à Bruxelles et les jeunes sont les premiers à s'en désinteresser. Mais pourquoi les jeunes ne se sentent-ils pas concernés par le slow-food ? Réponse dans l'enquête "Les jeunes et le slow-food" réalisée par Charlotte Chamberlan et Bruno Paoli.
 |
| Le logo du Slow Food représente un escargot. (http://www.lavazza.com/) |
Le Slow Food est un mouvement international créé pour lutter contre la mondialisation alimentaire. Le Slow Food est donc une alternative aux Fast-Food (d'ou le terme "slow") et par conséquent une alternative à la malbouffe. Ce mouvement fut fondé en 1986 par Carlo Petrini et il fut importé à Bruxelles il y a 5 ans. Le Slow Food est également connu sous le nom d'"écogastronomie" et est reconnu par l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture.
Mais ce concept est encore fort méconnu à Bruxelles et les jeunes sont les premiers à s'en désinteresser. Mais pourquoi les jeunes ne se sentent-ils pas concernés par le slow-food ? Réponse dans l'enquête "Les jeunes et le slow-food" réalisée par Charlotte Chamberlan et Bruno Paoli.
vendredi 11 mai 2012
"A Table ! Du champ à l'assiette"
Il ne vous reste plus que quelques jours pour vous rendre à l'exposition "A Table ! Du champ à l'assiette". Cette dernière a ouvert ses portes au mois de novembre dernier sur le site de Tour et Taxis et les refermera le 3 juin prochain...
Cette exposition s'interroge sur ce qu'il y a dans notre assiette. Et, il y a de quoi s'inquiéter quand on pense, comme l'affirme l'expo, que ce que l'on mange nous représente. En effet, l'exposition nous propose de comparer l'intérieur d'un frigo d'il y a 50 ans et d'un frigo actuel. Le dernier est rempli de plats préparés comprenant une quantité de sels et de matières grasses assez effrayante ! Cette expo nous fait donc réfléchir sur notre manière de nous alimenter à l'heure actuelle.
"A Table, du champ à l'assiette" se décline sous 4 thèmes : Cultiver (comment les aliments sont-ils produits par la nature et pas l'homme?) ; Manger (comment la nourriture devient-elle énergie?) ; Transformer (quelles sont les différentes étapes qui conduisent les aliments du champ à l'assiette?) et imaginer (serait-il possible de nourrir 9 milliards d'être humains en 2050... tout en conservant trois impératifs santé, saveur et durabilité?).
Toutes les infos sur le site de l'exposition.
(www.iew.be)
Toutes les infos sur le site de l'exposition.
(www.iew.be)
L'expo aborde les grands enjeux pour le futur mais elle n'oublie pas d'aborder l'aspect gastronomique. En effet, l'exposition a été créé dans le cadre de l'année de la gastronomie "Brusselicioux 2012".
L'exposition répond donc à de nombreuses questions de manières ludiques et imaginatives. Ci-dessous une petite vidéo qui vous donnera peut-être l'eau à la bouche...
L'exposition quittera le site de Tour et Taxis le 3 juin mais elle s'installera dès le mois de juillet à Libramont dans le cadre de la 78ème foire agricole et forestière. Pour cette occasion des travaux d'extension de Walexpo ont débuté il y a près d'un an déjà et devraient se terminer tout prochainement.
mardi 8 mai 2012
Taxer le sucre ? Le débat continue...
Faut-il taxer le sucre ? Faut-il supprimer les distributeurs de snacks dans les écoles ?, on pensait ces questions relégueés aux politiques... Eh bien non elles font toujours débat dans la rue ou dans les magazines féminins. Le numéro de mai du magazine féminin Elle Belgique consacre un article de trois pages sur la question de la taxation de la malbouffe. Son site internet, propose un sondage quant à la proposition de la ministre Simonet de supprimer les distributeurs de Snack dans les écoles (voir notre article sur le sujet). Pour ou contre les avis sont variés. Selon Cathy, "les produits vendus dans les distributeurs concentrent tout ce qu'il y a de plu mauvais pour la santé". Mais pour Barbara, il faut laisser les gens vivre un peu et ne pas supprimer ces distributeurs !
L'article de Elle Belgique, rédigée par Marie Guérin, répond à cinq grandes questions :
Est-ce que ça marcherait ? => La taxation des paquets de cigarettes fonctionne alors pourquoi pas taxer les sodas. Mais pour les chercheurs de l'Université de Californie les prix doivent doubler pour que les comportements changent
La taxe suffirait-elle à éduquer les consommateurs ? => Pour de nombreux psychologues, il est important de sensibiliser le public aux méfaits d'une trop grande consommation de sucre.
Qui serait taxé ? => Les consommateurs ou les entreprises ?
Elle Belgique n'a certes pas trouvé la solution à cet épineux problème, mais en attendant le magazine féminin propose cinq conseils pour manger de tout et de façon équilibré, sur son site internet.
L'article de Elle Belgique, rédigée par Marie Guérin, répond à cinq grandes questions :
Est-ce que ça marcherait ? => La taxation des paquets de cigarettes fonctionne alors pourquoi pas taxer les sodas. Mais pour les chercheurs de l'Université de Californie les prix doivent doubler pour que les comportements changent
Que faire de l'argent rapporté par cette taxe supplémentaire ? => Une des solutions vient du sénateur MR Brotchi qui propose en contrepartie de supprimer la TVA des fruits et légumes (puisque l'Etat gagnerait se procurerait cet argent autrement).
Mais pourquoi le sucre ? => Car, comme l'explique Marie Guérin, auteure de l'article, il est responsable de nos tracas de santé mais aussi de nos sautes d'humeur.La taxe suffirait-elle à éduquer les consommateurs ? => Pour de nombreux psychologues, il est important de sensibiliser le public aux méfaits d'une trop grande consommation de sucre.
Qui serait taxé ? => Les consommateurs ou les entreprises ?
Elle Belgique n'a certes pas trouvé la solution à cet épineux problème, mais en attendant le magazine féminin propose cinq conseils pour manger de tout et de façon équilibré, sur son site internet.
samedi 5 mai 2012
Exki prend de l'envol
Le groupe belge Exki compte s'installer davantage à Paris. Pour l'instant 15 restaurants Exki sont présents dans la capitale parisienne et la chaine de restauration rapide belge compte en développer encore une quarantaine. La ville de Paris représente un marché prometteur pour le groupe Exki.
(www.huged.be)
Né à Bruxelles en 2001
La marque est née il y a plus de dix à Bruxelles, sous l'initiative de trois jeunes hommes: Frédéric Rouvez, Nicolas Steisel et Arnaud de Meeus. Depuis elle s'est développée dans d'autres pays comme le Luxembourg, la France et l'Italie. Ce fast-food se distingue de nombreux autres car ils proposent des produits frais essentiellement composé de légumes et de fruits. Il y a dix ans le marché de la restauration rapide n'était envahi que par des Quick, Mcdo ou Pizza hut, il était très difficile de se faire une place. Mais Exki y est parvenu en comptant aujourd'hui 62 restaurants, qui emploient 700 personnes, ce qui lui permet de dégager un bénéfice net de près d'un million d'euro, selon le site les echos.
Des aliments sain et frais qui plaisent
Ce qui plait c'est avant tout la sélection d'aliments frais. En effet, Manon une jeune étudiante de l'ULB se rend presque tout les midis chez Exki, situé Avenue de l'Université, car elle privilégie une alimentation saine et pleine de vitamines. "Je viens ici car c'est le seul endroit, hormis les restaurants trop chers, où on peut manger une salade ou des fruits sur place", nous confie-t-elle. Pour Cédric c'est la rapidité qui l'épate. "On est servi plus vite que chez Quick et franchement c'est même meilleur. Enfin c'est surtout qu'on se sent bien en mangeant ce type de nourriture car c'est sain", explique ce dernier. Ce sont ces mêmes qualités qui séduisent les parisiens. Nicolas Steisel co-fondateur d'Exki affirme que les clients parisiens les adorent. "En fait, ils veulent manger plus sain et sont séduits par notre formule self-service qui n'a rien à voir avec les selfs traditionnels et leur permet de choisir ce qui leur plaît dans de grands frigos ouverts et transparents. Mais ils sont tout aussi attentifs au prix et à la qualité qu'au temps passé dans l'établissement. Ils veulent manger rapidement sans être sous pression et pouvoir prendre le temps qu'ils veulent", développe Monsieur Steisel.
Bientôt dans les TGV
La marque belge fera également bientôt son entrée dans les TGV. La société Newrest Wagons-Lits a décidé de s'associer avec le groupe de restauration Elior, pour offrir aux voyageurs des sandwichs et salades. Ce projet devrait voir le jour en 2014...
Né à Bruxelles en 2001
La marque est née il y a plus de dix à Bruxelles, sous l'initiative de trois jeunes hommes: Frédéric Rouvez, Nicolas Steisel et Arnaud de Meeus. Depuis elle s'est développée dans d'autres pays comme le Luxembourg, la France et l'Italie. Ce fast-food se distingue de nombreux autres car ils proposent des produits frais essentiellement composé de légumes et de fruits. Il y a dix ans le marché de la restauration rapide n'était envahi que par des Quick, Mcdo ou Pizza hut, il était très difficile de se faire une place. Mais Exki y est parvenu en comptant aujourd'hui 62 restaurants, qui emploient 700 personnes, ce qui lui permet de dégager un bénéfice net de près d'un million d'euro, selon le site les echos.
Des aliments sain et frais qui plaisent
Ce qui plait c'est avant tout la sélection d'aliments frais. En effet, Manon une jeune étudiante de l'ULB se rend presque tout les midis chez Exki, situé Avenue de l'Université, car elle privilégie une alimentation saine et pleine de vitamines. "Je viens ici car c'est le seul endroit, hormis les restaurants trop chers, où on peut manger une salade ou des fruits sur place", nous confie-t-elle. Pour Cédric c'est la rapidité qui l'épate. "On est servi plus vite que chez Quick et franchement c'est même meilleur. Enfin c'est surtout qu'on se sent bien en mangeant ce type de nourriture car c'est sain", explique ce dernier. Ce sont ces mêmes qualités qui séduisent les parisiens. Nicolas Steisel co-fondateur d'Exki affirme que les clients parisiens les adorent. "En fait, ils veulent manger plus sain et sont séduits par notre formule self-service qui n'a rien à voir avec les selfs traditionnels et leur permet de choisir ce qui leur plaît dans de grands frigos ouverts et transparents. Mais ils sont tout aussi attentifs au prix et à la qualité qu'au temps passé dans l'établissement. Ils veulent manger rapidement sans être sous pression et pouvoir prendre le temps qu'ils veulent", développe Monsieur Steisel.Bientôt dans les TGV
La marque belge fera également bientôt son entrée dans les TGV. La société Newrest Wagons-Lits a décidé de s'associer avec le groupe de restauration Elior, pour offrir aux voyageurs des sandwichs et salades. Ce projet devrait voir le jour en 2014...
mercredi 2 mai 2012
Brusselicious : année gourmande à Bruxelles !
2012 sera une année gourmande dans la capitale bruxelloise ! En effet, pendant un an Bruxelles met à l'honneur la gastronomie. Pour cette occasion, des expositions et activités voient le jour en plein coeur de la ville....
Impossible également d'échapper au "Tram Expérience". Ce tram qui part de la place Poelaert, vous emmène dans un voyage unique autour de la gastronomie belge. Nos grands classiques sont revisités par les plus grands chefs étoilés de Bruxelles. "Et pas question de cuisiner deux fois le même plat, les menus sont renouvelés en permanance", nous affirme Pierre Massart, responsable presse du projet Brusselicious. "Ceux qui ont pris part à l'expérience se disent ravis", ajoute-t-il. En effet, les échos sont excellent à la sortie du tram. "C'était succulent", s'exclame Emilie jeune femme de 25 ans en sortant du tram. "Un peu cher, mais ça vaut le coup. C'est vraiment une expérience originale", ajoute son fiancé Grégoire.
Au contraire, si vous préférez manger en regardant un film plutôt que les rues de Bruxelles, c'est possible aussi à la Cinematek. "Vous pouvez, en effet, déguster de délicieux mets devant un film culte", explique Monsieur Massart.
Et il y a encore beaucoup d'autres activités de prévues (voir le site) comme des pique-niques bio au mois de juin, des dîners à thèmes, comme le diner "les misérables" pour fêter les 150ans de la sortie du livre Victor Hugo autour d'un banquet digne du 19ème siècle,... De nombreux établissements sont également en partenariat avec Brusselicious, comme divers hotels, qui proposent des p'tits déj' Brusselicious typiquement belge. Il y a quelques semaines, nous vous informions d'une chasse aux oeufs dans Bruxelles, encore une initiative "Brusselicious" !
Depuis quelques mois, ce à quoi on ne peut échapper ce sont les gigantestques structures représentants les "super-héros" de la gastronomie belge. En effet, choux de bruxelles, gauffre, moules et cornet de frites sont descendus envahir la ville.
 |
| toutes les photos sur : http://visitbrussels.be/bitc/BE_fr/brusselicious/presse.do |
Le 9 janvier dernier, les monde de la cuisine bruxelloise s'est retrouvé sur la grand place pour lancer le projet Brusselicious 2012. Pour l'occasion, 655 toques ont été lancé dans les airs. Un record qui permettra à Brusselicious d'obtenir une place dans le Guiness book des records. Comme l’affirme le communiqué de la Région Bruxelles-Capitale, “Brusselicious 2012 se veut être une année pour mettre en avant notre Art de Vivre à Bruxelles, pour offrir un thème fédérateur et riche, pour fournir des expériences nouvelles à nos habitants et nos visiteurs. Et une volonté forte de profiter des nombreuses actions prévues au programme pour affirmer notre volonté d’être la capitale européenne de la gastronomie.”
 |
Et il faudrait ne pas sortir de chez soi pour ne pas se rendre compte que Bruxelles fête la gastronomie ! En effet, les publicités sont nombreuses et surtout tape à l'oeil et différentes dans coin de rue à un autre selon le thème qu'elle mette à l'honneur.
Impossible également d'échapper au "Tram Expérience". Ce tram qui part de la place Poelaert, vous emmène dans un voyage unique autour de la gastronomie belge. Nos grands classiques sont revisités par les plus grands chefs étoilés de Bruxelles. "Et pas question de cuisiner deux fois le même plat, les menus sont renouvelés en permanance", nous affirme Pierre Massart, responsable presse du projet Brusselicious. "Ceux qui ont pris part à l'expérience se disent ravis", ajoute-t-il. En effet, les échos sont excellent à la sortie du tram. "C'était succulent", s'exclame Emilie jeune femme de 25 ans en sortant du tram. "Un peu cher, mais ça vaut le coup. C'est vraiment une expérience originale", ajoute son fiancé Grégoire. 
Au contraire, si vous préférez manger en regardant un film plutôt que les rues de Bruxelles, c'est possible aussi à la Cinematek. "Vous pouvez, en effet, déguster de délicieux mets devant un film culte", explique Monsieur Massart.Et il y a encore beaucoup d'autres activités de prévues (voir le site) comme des pique-niques bio au mois de juin, des dîners à thèmes, comme le diner "les misérables" pour fêter les 150ans de la sortie du livre Victor Hugo autour d'un banquet digne du 19ème siècle,... De nombreux établissements sont également en partenariat avec Brusselicious, comme divers hotels, qui proposent des p'tits déj' Brusselicious typiquement belge. Il y a quelques semaines, nous vous informions d'une chasse aux oeufs dans Bruxelles, encore une initiative "Brusselicious" !
Depuis quelques mois, ce à quoi on ne peut échapper ce sont les gigantestques structures représentants les "super-héros" de la gastronomie belge. En effet, choux de bruxelles, gauffre, moules et cornet de frites sont descendus envahir la ville.
C'est donc une année pleine de dégustation qui attend les bruxellois et les touristes qui sont d'ailleurs nombreux à se déplacer pour l'occasion.
samedi 28 avril 2012
De plus en plus de fermes bio en Wallonie
L'année 2011 a battu le record du nombre d'exploitations fermières bio en Wallonie. En effet, le cap des 1000 fermes bio a été franchi. Philippe Loeckx, agriculteur bio et vice-président de l'Union nationale des agrobiologistes belges (UNAB) affirme que 7% des exploitations fermières sont des fermes d'agriculture biologique. Il s'inquiète tout de même que le label bio soit limité aux aspects de production au point que l'on oublie les aspects sociaux, comme le respect des animaux et de la nature. Philippe Loeckx a fait ce constat lors de la journée internationale des luttes paysannes.
mercredi 25 avril 2012
Reportage sur la malbouffe
Il y a quelques semaines, un débat faisait polémique en Belgique : doit on oui ou non taxer la malbouffe ?
Barbara Marcon, étudiante en 1ère master de journalisme à l'ULB a mené l'enquête pour savoir quelles seraient les conséquences...
Barbara Marcon, étudiante en 1ère master de journalisme à l'ULB a mené l'enquête pour savoir quelles seraient les conséquences...
jeudi 19 avril 2012
La Belgique, le pays de la frite !
Jeudi dernier la Feiva, la fédération de l’industrie alimentaire, a présenté son rapport annuel.
Résultat : la Belgique est le plus gros producteur de frites !
La Belgique a pris la première place détenue jusqu’alors par les Pays-Bas.
La Belgique a pris la première place détenue jusqu’alors par les Pays-Bas.
Notre pays transforme chaque année 3,2 milliards de kilos de pommes de terre en croquettes, frites, pommes duchesse et autres....
Une mauvaise nouvelle pour les fervents défenseurs d’une alimentation saine !
lundi 16 avril 2012
Carrefour se met au vert
Le groupe de distribution Carrefour va peut-être ouvrir son premier magasin « Carrefour Bio ».
Le groupe serait encore en quête d’un emplacement à Paris, selon le site Internet de la Tribune. Toujours selon ce site, Carrefour proposera "un large spectre de produits de consommation courante, allant des fruits et légumes à l'hygiène-beauté en passant par l'habillement, dont la layette".
Le groupe serait encore en quête d’un emplacement à Paris, selon le site Internet de la Tribune. Toujours selon ce site, Carrefour proposera "un large spectre de produits de consommation courante, allant des fruits et légumes à l'hygiène-beauté en passant par l'habillement, dont la layette".
Carrefour n’est pas le seul à vouloir se lancer sur le marché Bio.
Le magasin Monoprix est déjà propriétaire de Naturalia. Auchan compte ouvrir une filière Bio à Essonne (région parisienne) en Mai. Ce magasin portera le nom de « cœur de Nature ». Enfin le groupe Leclerc désire aussi investir le marché pour rendre le Bio moins cher.
Le magasin Monoprix est déjà propriétaire de Naturalia. Auchan compte ouvrir une filière Bio à Essonne (région parisienne) en Mai. Ce magasin portera le nom de « cœur de Nature ». Enfin le groupe Leclerc désire aussi investir le marché pour rendre le Bio moins cher.
Des initiatives Bio qui envahiront peut-être bientôt le sol bruxellois...
jeudi 12 avril 2012
Spot publicitaire contre la malbouffe
Un spot publicitaire dénonçant la malbouffe crée une polémique. Ce clip produit par la Direction générale Santé de la Fédération Wallonie-Bruxelles montre deux hommes, l'un en surpoid, l'autre mince, côté a côte jouant sur leur ordinateur. Le premier se nourrit d'aliments gras, le deuxième d'une pomme verte. Et, en croquant dans cette dernière il a une illumination et dessine le logo de la marque "Apple". Le clip continue en affirmant que si Jean-Claude avait mangé moins gras, il serait devenu riche et se serait marié. Une blague de mauvais goût pour certains...
En effet, trois plaintes ont été déposées au Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre le racisme. Laurent Nys, administrateur de la Fédération Horeca et ancien conseiller communal MR à la ville de Bruxelles se plaint du ton décalé de la publicité, qui est discriminatoire. « Je suis moi-même un peu en surpoids, et pourtant j'ai une femme, bientôt un enfant et en plus j'ai un travail. J'ai été choqué par ce spot lorsque je l'ai vu à la télévision », affirme ce dernier. Deux autres personnes ont également porté plainte selon le centre.
Fadila Laanan, ministre de la Santé de la FWB, ne comprend pas ces réactions. « Je n'ai aucun problème avec cette vidéo, elle s'inscrit dans la campagne de sensibilisation à une attitude saine pour les jeunes », déclare-t-elle.
La diffusion de ce spot prendra fin dans une semaine, l'heure sera alors à l'évaluation.... Ce spot était-il discriminatoire ? Etait-ce une erreur de le difuser ?, autant de questions que devront se poser les membres du cabinet de la ministre de la Santé et de l'Egalité des chances, Fadila Laanan. Le chef de cabinet, Gilles Doutrelepont a affirmé "qu'ils tiendraient compte des plaintes déposées".
Ce n'est évidemment pas le premier spot publicitaire dénonçants les méfaits de la malbouffe. Beaucoup pointent du doigts les fast-foods comme Macdo ou Quicks, comme ce spot si :
En effet, trois plaintes ont été déposées au Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre le racisme. Laurent Nys, administrateur de la Fédération Horeca et ancien conseiller communal MR à la ville de Bruxelles se plaint du ton décalé de la publicité, qui est discriminatoire. « Je suis moi-même un peu en surpoids, et pourtant j'ai une femme, bientôt un enfant et en plus j'ai un travail. J'ai été choqué par ce spot lorsque je l'ai vu à la télévision », affirme ce dernier. Deux autres personnes ont également porté plainte selon le centre.
Fadila Laanan, ministre de la Santé de la FWB, ne comprend pas ces réactions. « Je n'ai aucun problème avec cette vidéo, elle s'inscrit dans la campagne de sensibilisation à une attitude saine pour les jeunes », déclare-t-elle.
La diffusion de ce spot prendra fin dans une semaine, l'heure sera alors à l'évaluation.... Ce spot était-il discriminatoire ? Etait-ce une erreur de le difuser ?, autant de questions que devront se poser les membres du cabinet de la ministre de la Santé et de l'Egalité des chances, Fadila Laanan. Le chef de cabinet, Gilles Doutrelepont a affirmé "qu'ils tiendraient compte des plaintes déposées".
Ce n'est évidemment pas le premier spot publicitaire dénonçants les méfaits de la malbouffe. Beaucoup pointent du doigts les fast-foods comme Macdo ou Quicks, comme ce spot si :
samedi 7 avril 2012
Pâques et ses oeufs en chocolat
En effet, chaque année les supermarchés regorgent de friandises chocolatées, mais les chocolats bio sont (encore trop?) rare. Pourtant il existe quelques marques qui en proposent : Dammenberg & Naturalia.
Leur production chocolatière exclut l'utilisation d'engrais et de pesticides dans la culture du cacao, du sucre et du lait. Leur processus de production et de conditionnement suivent également des normes très strictes.
A garder à l'esprit pour vos prochaines courses de pâques !
Leur production chocolatière exclut l'utilisation d'engrais et de pesticides dans la culture du cacao, du sucre et du lait. Leur processus de production et de conditionnement suivent également des normes très strictes.
A garder à l'esprit pour vos prochaines courses de pâques !
(http://cecilegautier.wordpress.com/2012/04/02/miam-des-oeufs-en-chocolat-pour-paques-oui-mais-pourquoi/)
Pour rester dans le domaine des oeufs en chocolat, demain aura lieu dans 10 parcs Bruxellois une grande chasse aux oeufs. La chasse débutera a 15h. Plus d'infos.
Un peu de chocolat de temps en temps, ça ne fait de mal à personne !
(http://www.maxhavelaar.be/fr/nouvelles/bruxelles-grande-chasse-aux-oeufs-en-chocolat-equitable-le-08-avril-2012)
Pour rester dans le domaine des oeufs en chocolat, demain aura lieu dans 10 parcs Bruxellois une grande chasse aux oeufs. La chasse débutera a 15h. Plus d'infos.
Un peu de chocolat de temps en temps, ça ne fait de mal à personne !
(http://www.maxhavelaar.be/fr/nouvelles/bruxelles-grande-chasse-aux-oeufs-en-chocolat-equitable-le-08-avril-2012)
mardi 3 avril 2012
La fin les distributeurs de snacks dans les écoles ?
La ministre de l'enseignement Marie-Dominique Simonet veut supprimer les distributeurs automatiques de sodes et snacks dans les écoles. Il faut lutter contre la malbouffe avant qu'il ne soit trop tard, selon cette dernière. Un petit pas vers une alimentation plus saine...
Rappelons tout de même qu'en 2004, la ministre Arena s'était déjà battu pour un tel objectif. Sans succès...
dimanche 25 mars 2012
Action potage !
Il existe des alternatives à la mal bouffe. L'échevine bruxelloise de l'administration publique et de la jeunesse Faouzia Hariche à voulu le prouver. En effet, afin que les enfants cessent de manger des sucreries à la récréation, l'échevine Faouzia Hariche a créé le projet "Action potage". Rencontre...
(Article du 13 mars, rédigé pour "Le Couloir de l'Info")
Huit écoles de Bruxelles distribuent actuellement du potage aux élèves lors de la pause de 10h. L’action prendra fin le 31 mars prochain mais, ravie de son succès, l’échevine en charge du projet se dit prête à retenter l’expérience. Et pour cause, les enfants en raffolent.
Tous à la soupe ! C’est le cri de joie de l’école « les magnolias » qui depuis début novembre participe à « l’Action potage ». Tous les jours, dès que la sonnerie retentit, les enfants accourent sous le préau. C’est là que le personnel de cuisine dispose les gobelets remplis de potage. « Cool, c’est de la soupe verte », s'écrie Myriam, jeune élève de l’école « les Magnolias » à Laeken. Si la plupart des enfants prennent de la soupe tous les matins, ils sont quand même nombreux à préférer les jours de « soupe rouge » selon Mme Gundogan, professeur en 1ère primaire. Le plus important pour ce professeur, c’est le remplacement des sucreries par une collation saine. « La réaction des parents est positive », confirme Vincent Lebrun, directeur de l’établissement scolaire. Lui-même prend de la soupe tous les jours, ainsi que les autres enseignants. De plus, il constate que la propreté s’est améliorée au sein de l’école. En effet, aucun déchet polluant ne traine dans la cour. C’est un autre avantage de « l’action potage », selon les agents d’entretien. La recette concoctée par l’échevine de l’administration publique et de la jeunesse, Faouzia Hariche, plaît donc aux grands comme aux petits. En tout, ce sont près de 3500 élèves et une centaine de professeurs qui peuvent profiter de cette initiative. Tous les soirs les écoles reçoivent des litres de soupe concoctés par les « cuisines bruxelloises », une association qui dépend du CPAS de la commune de Bruxelles. « Les écoles équipées de liaison froide ont été préférées car dans ces établissement, la soupe arrive froide la veille et elle est réchauffée le jour de la distribution », explique Nele Mahy, collaboratrice du cabinet de l’échevine. Selon Mme Mahy, c’est plus sain car de cette manière on respecte la chaine du froid.
(Article du 13 mars, rédigé pour "Le Couloir de l'Info")
Ils se ruent sur la soupe à la récré ! !
Huit écoles de Bruxelles distribuent actuellement du potage aux élèves lors de la pause de 10h. L’action prendra fin le 31 mars prochain mais, ravie de son succès, l’échevine en charge du projet se dit prête à retenter l’expérience. Et pour cause, les enfants en raffolent.
Tous à la soupe ! C’est le cri de joie de l’école « les magnolias » qui depuis début novembre participe à « l’Action potage ». Tous les jours, dès que la sonnerie retentit, les enfants accourent sous le préau. C’est là que le personnel de cuisine dispose les gobelets remplis de potage. « Cool, c’est de la soupe verte », s'écrie Myriam, jeune élève de l’école « les Magnolias » à Laeken. Si la plupart des enfants prennent de la soupe tous les matins, ils sont quand même nombreux à préférer les jours de « soupe rouge » selon Mme Gundogan, professeur en 1ère primaire. Le plus important pour ce professeur, c’est le remplacement des sucreries par une collation saine. « La réaction des parents est positive », confirme Vincent Lebrun, directeur de l’établissement scolaire. Lui-même prend de la soupe tous les jours, ainsi que les autres enseignants. De plus, il constate que la propreté s’est améliorée au sein de l’école. En effet, aucun déchet polluant ne traine dans la cour. C’est un autre avantage de « l’action potage », selon les agents d’entretien. La recette concoctée par l’échevine de l’administration publique et de la jeunesse, Faouzia Hariche, plaît donc aux grands comme aux petits. En tout, ce sont près de 3500 élèves et une centaine de professeurs qui peuvent profiter de cette initiative. Tous les soirs les écoles reçoivent des litres de soupe concoctés par les « cuisines bruxelloises », une association qui dépend du CPAS de la commune de Bruxelles. « Les écoles équipées de liaison froide ont été préférées car dans ces établissement, la soupe arrive froide la veille et elle est réchauffée le jour de la distribution », explique Nele Mahy, collaboratrice du cabinet de l’échevine. Selon Mme Mahy, c’est plus sain car de cette manière on respecte la chaine du froid.
Saine habitude, idée originale
L’échevine Faouzia Hariche s’occupe de projets relatifs à l’éducation alimentaire depuis de nombreuses années. Dans le cadre de ses compétences, elle a d’ailleurs mis sur pied un comité diététique, composé de dentistes, diététiciens, représentants pédagogiques, etc. Ces derniers s’étaient déjà battus pour limiter les distributeurs de snacks dans les écoles. Aujourd’hui, c’est une des diététiciennes membres, Marie-José Mozin, qui a proposé une distribution de soupe à 10h. L’objectif est simple : encourager les enfants à se nourrir de légumes et à consommer quatre repas par jour. Mme Mahy ajoute que le projet est subventionné par les « cuisines bruxelloises ». La soupe est donc gratuite pour tous, ainsi que le matériel nécessaire à la réalisation. L’école « les magnolias » a donc reçu des casseroles, des louches et près de 600 gobelets. Afin que le projet reçoive un bon accueil, le bureau de l’échevine avait créé un petit magazine, expliquant l’action pour les parents.
La soupe revient l’an prochain
Cette initiative prend fin le 31 mars prochain mais le bureau de l’échevine se dit satisfait pour ce premier essai, et évoque même l’idée de retenter l’expérience l’année prochaine. « Les échos sont bons et les études aussi», indique le cabinet de Mme Hariche. En effet, des experts ont comparé deux classes d’élèves, les uns consommaient de la soupe, les autres non. Les résultats sont surprenants. « L’indice de masse corporelle se stabilise chez les enfants qui mangent de la soupe et l’attention en classe est également plus grande », explique Nele Mahy. Cette dernière espère que d’ici décembre prochain dix écoles supplémentaires seront équipées d’une liaison froide afin de pouvoir se joindre au projet. A l’école primaire « les Magnolias », on espère que cette initiative reprendra chaque hiver. Le corps enseignant essaye d’ailleurs de s’impliquer au maximum. Début janvier, les enseignants avaient d’ailleurs proposé de distribuer de la soupe sous le préau plutôt que directement dans les classes. Selon, M. Lebrun, au niveau de l’organisation, cela facilite les choses.
Un bilan sera tiré par les membres du bureau de l’échevine très prochainement. Ils évalueront si l’action vaut la peine d’être rééditée. Les enfants, eux, en tout cas en redemandent...
dimanche 18 mars 2012
Pourquoi un blog bio sur Bruxelles ?
Selon le Petit Robert, une agriculture bio est une agriculture sans pesticides, ni engrais de synthèse. Ce type d’agriculture est basé sur le respect du vivant et des cycles naturels et favorise l'agro-système mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques.
Mais dans le jargon actuel, les gens perçoivent le bio comme une nourriture saine. Quand on parle bio, on parle surtout de manger sain ! C'est sous cette interprétation là que nous utiliserons le mot "bio". Ce blog s'intéressera donc aux initiatives saines (bio ou autres) mises en place à Bruxelles. On aurait donc pu appeler ce blog "mangersainabruxelles", mais le nom nous semblait moins accrocheur. Il restait moins en tête.
Qu'est-il mis en place pour contrer la malbouffe à Bruxelles ? Quels sont ces nouveaux restaurants sain qui voient le jour dans la capitale ? Tentative de réponse dans ce blog !
Bonne visite et n'hésitez pas à laisser des commentaires !
Qu'est-il mis en place pour contrer la malbouffe à Bruxelles ? Quels sont ces nouveaux restaurants sain qui voient le jour dans la capitale ? Tentative de réponse dans ce blog !
Bonne visite et n'hésitez pas à laisser des commentaires !
Inscription à :
Articles (Atom)